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25/05/2010

Liaisons SNCF Paris-Boulogne

Les travaux d'électrification de la ligne SNCF entre Boulogne et Rang-du-Fliers ainsi que la modernisation de la gare d'Etaples avancent... à grand train. La nouvelle passerelle piétons avec son curieux chemin métallique (éblouissant par soleil de face) vient notamment d'être mise en service.

Si l'on peut se réjouir de l'amélioration des liaisons entre la Côte d'Opale et la région Nord-Pas de Calais, des inquiétudes se manifestent déjà à propos des liaisons entre Etaples-Rang du Fliers et les régions situées plus au sud, avec notamment, dans un avenir plus ou moins proche, une éventuelle suppression des liaisons directes depuis Paris par trains Corail, remplacées par des liaisons TGV directes passant par Lille et Boulogne (voir schéma). Soit, pour un temps de parcours quasiment identique, un kilométrage et un prix du billet quasiment doublés ! Il resterait alors la solution alternative déjà existante, changer à Amiens pour prendre un autorail TER, avec la rupture de charge et la perte de temps qui en résultent. Encore heureux que ledit TER puisse continuer son parcours à Rang-du-Fliers sans qu'il soit nécessaire de changer une seconde fois !

Une telle solution constituant de toute évidence une aberration, nous suivons avec attention l'évolution de ce dossier. Notons que le problème n'est pas nouveau puisque déjà en 2008, M. le Député-Maire l'avait clairement exposé en cours de séance à l'Assemblée Nationale, comme le montre le compte-rendu de la question et de la réponse, peu claire en revanche, du secrétaire d'Etat de l'époque.

Nous avions déjà évoqué l'idée des locomotives bi-mode suggérée par M. le Député-Maire (note du 21.10.2008). Mais à l'heure des restrictions budgétaires de toute nature, cette solution a-t-elle encore des chances de prospérer ?

 

13/05/2010

Bordures de trottoirs en centre ville

touquet,bordures,trottoirsUn de nos adhérents est récemment tombé en arrêt sur cette bordure de trottoir rue de Londres. Parcourant la rue de Metz voisine, il a observé sur toute sa longueur plus d'une douzaine d'emplacements dégradés, naturellement ou par accident (photos), sans compter les corbeilles à détritus récentes en train de rouiller. Conclusion : la pierre choisie pour réaliser les coûteuses bordures de trottoirs du centre ville ne possède pas la résistance digne d'un mobilier urbain de qualité. Outre le problème déjà connu des surfaces glissantes par temps de pluie, on assiste donc à une dégradation en profondeur des pierres qui va en s'accélérant. Les trottoirs récents n'auront bientôt rien à envier à l'état déplorable de certains trottoirs plus anciens. En plein cœur de ville, cela marque mal auprès de nos visiteurs. Pourtant, on nous avait bien vanté en son temps l'excellence et la rigueur des techniques et matériaux choisis. Va-t-il falloir recommencer tout le travail ?

NB. Le problème n'est pas nouveau, comme en témoigne ce courrier que nous avions adressé en 2004 au premier magistrat de l'époque.